Concernant les allégations formulées sur une page de médias sociaux au sujet de la nomination d'un membre du corps professoral de la Faculté de médecine dentaire de l'université, et les irrégularités alléguées, le Conseil universitaire affirme ce qui suit :
Premièrement : La nomination a été effectuée conformément aux procédures légales prévues par la loi sur l'organisation des universités. Deux commissions d'examen et d'audition ont été constituées et ont conclu que le candidat possédait les qualifications requises pour le poste à pourvoir. Sur cette base, l'autorité compétente a pris la décision de nomination après approbation du Conseil universitaire.
Deuxièmement : Dans un souci de transparence et d'intégrité accrues, le Conseil universitaire affirme que les procédures de recrutement, dans le cadre du concours ouvert, ont été soumises à une commission juridique composée du doyen de la Faculté de droit, du conseiller juridique de l'université et de la Direction générale des affaires juridiques de l'université. Cette commission examinera les procédures, vérifiera leur conformité à la loi et saisira les parties concernées de toute irrégularité constatée lors de cet examen.
Troisièmement : L’Université, fidèle à son intégrité et à sa transparence d’institution publique, est pleinement disposée à recevoir toute plainte officielle de toute partie intéressée, interne ou externe à l’Université, qui s’estime lésée par la décision de nomination et les procédures y afférentes.
Quatrièmement : Concernant les allégations d’irrégularités dans le processus d’examen de la Faculté de médecine dentaire, une commission sera constituée, présidée par le vice-président à l’enseignement et aux affaires étudiantes, afin d’examiner et de vérifier l’intégrité de toutes les procédures d’examen. Le Conseil de l’Université affirme que toute irrégularité constatée lors de cet examen fera l’objet d’une enquête.
Enfin, le Conseil de l’Université salue tous les efforts sincères déployés dans le seul but de servir l’intérêt public sans compromettre l’intégrité des institutions publiques, de leurs membres ou des responsables de leur administration.

